Le cocktail est souvent le même : de la musique, de l’alcool et – conséquence directe ? – des relations adultères. D’après le site AshleyMadison.com, les festivals, dont les Français sont friands, ont une particularité assez méconnue : les relations extraconjugales y fourmillent. Et, parmi ces terres de luxure, les rassemblements bretons occupent une belle place.
AshleyMadison.com est le leader mondial sur les rencontres extraconjugales. Volonté de provoquer ou de se faire connaître, la société a mené une étude sur 1 842 internautes, révélée par France 3.
Le festival interceltique de Lorient sur la 3e marche
La palme revient au Sud : lors de Pause Guitare, un rassemblement basé à Albi, 14,2 % de personnes interrogées mariées ont avoué avoir trompé leur conjoint. Suivent ensuite les Francofolies, avec 12,3 %.
Mais, surprise, le Festival interceltique de Lorient grimpe sur la troisième marche du podium : 11,4 % des internautes déclarent y avoir eu une relation hors du couple. Est-ce dû aux sons lancinants des binious et cornemuses ? Au fait qu’il dure 10 jours ? Ou à la météo – parfois – capricieuse ? Mystère.
Côté électro, le festival Astropolis de Brest occupe la 4e place : 10,5 % des personnes interrogées y ont eu une relation adultère. Les Vieilles charrues et Bobital, dans les Côtes d’Armor doivent, eux, faire valoir le charme de la tente de camping et du voisinage aviné. Le festival de Carhaix se classe 7e, avec 7,1 % d’adultères. A Bobital, 5,9 % des personnes questionnées déclarent avoir trompé leur conjoint.
Reste que tous ces rassemblements ne sont pas des lieux de débauche. Ainsi, la Route du rock à Saint-Malo a l’air plus sage, à la 12e place. Et le festival du Bout du monde, sur la presqu’île de Crozon, finit à la 15e et dernière place. A croire que la musique du monde émoustille moins la libido des festivaliers que la guitare de Patrick Bruel, programmé cette année à Pause Guitare…
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