Trois questions à…
Éric Ménard.
Pouvez-vous nous raconter votre parcours ?
De mère bourguignonne et de père breton, je me revendique nantais, ma ville de naissance, en 1976, très grande année viticole et en pleine canicule. J’y suis resté vingt-six ans.
Ensuite, je suis allé à la faculté de musicologie, à Rennes, et je suis revenu à Nantes en tant qu’enseignant de guitare et d’éveil musical à l’école de musique. J’y ai également dirigé des choeurs d’une grande diversité : enfants, adultes, retraités, handicapés, syndicalistes, bretons… Je donnais des concerts de guitare, seul ou en groupe, et j’ai créé un groupe de jazz manouche.
Comment avez-vous atterri à Saint-Hilaire ?
J’avais aussi créé une chorale, Arrivée d’air show, où chantait une nantaise, Rozenn. Ses grands-parents avaient une maison de vacances familiale, à Saint-Hilaire. Rozenn y allait souvent, puis moi aussi.
Pendant ce temps, nous nous sommes installés dans le vignoble, près de Clisson. Puis, par héritage, la maison de Saint-Hilaire est devenue la nôtre.
Qu’est-ce qui vous plaît à Saint-Hilaire ?
L’océan ! Même si nous n’y allons pas tous les jours, il nous suffit de savoir qu’il est là.
Nous avons de la famille, ici, et prolongeons l’ambiance de nos vacances sous les pins.
J’ai plaisir à faire connaître le coin et les gens d’ici aux personnes qui nous rendent visite.
J’ai aussi renoué avec le chant choral en étant chef de choeur. Je suis fier de réussir à enseigner la musique, d’enseigner l’art.
Et j’aime dire que « Je suis un prof de guitare au bord de la mer ! »
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