"Django unchained" : un reportage bien documenté sur les solos de …

 

Tijuana, décembre 2012janvier février 2013,


Allongé sur un hamac dans le jardin à la française de son
hacienda mexicaine, Tonton Paso, la barbe drue et le cheveu rare, s’envoie virilement à travers le gosier un grand verre d’eau de source Taillefine arôme pêche nectarine de tequila en chantonnant La Colegiala. À ses côtés, un latino touink aux yeux de biche et à la peau cuivrée lui ventile vigoureusement les squames en agitant d’une main ferme et langoureuse une gigantesque feuille de palme.

En un mot comme en cent c’est un peu comme qui dirait l’heure du bilan.

Ho ses folles années de jeunesse sont désormais LOOOOOOOUIN derrière lui et c’est avec toute la sagesse qui caractérise les grands maîtres ninjas de Katmandou qu’il envisage de mettre un terme à sa carrière de meilleur trikite de flims de tout les temps. Ce bon vieux Tonton a ennéfé LARGEMENT atteint la date limite de consommation on peut difficilement le nier HO NON ON NE LE PEUTE. Mais ne t’inquiète pas mon bon vieux fan à la verge alerte, aussi usé soit-il par ces années de dur labeur dans les recoins les plus sombres de ses multiplexes ugécé préférés, ton Tonton n’est pas encore arrivé au bout de la piste des navajos. AT THE CONTRARY (comme disent les Américains) ai-je envie de dire. Car pitêtre va-t-il ENFIN pouvoir se consacrer À CORPS ET À CŒUR PERDUS à l’écriture de son roman-fleuve, une auto-fiction fruitée sur la dérive des sentiments en milieu germanopratin qui finira probablement adaptée par un jeune fémisard lui-même subventionné par un gouvernement d’obédience stalino-trotskyste.


HASHTAG #PIPEMOUSTACHE

Ne te méprends SIRTOUPA les amis, ce n’est pas par manque d’amour de ta part que je décide de m’arrêter HO QUE NON. Maintes zé maintes fois j’ai reçu moultes messages trop pichounets provenant de très nombreux admirateurs inconditionnels et barely legal CRÈVE SALE HIPSTER CRÈVECRÈVECRÈVE AVEC TON STYLE DE MERDE ET TES MŒURS SATANIQUES DE GROS PORC SIONISTE mais voilà mes chérichéris à l’instar de Dalida HIP HOP FLIP AND FLOP JE GLISSE TRANKIL UNE SUBTILE RÉFÉRENCE À LA CULTURE HOMOSEKSUELLE ton vieux Tonton Paso préfère mûrir sur scène fusillé par des sabres lasers de chevaliers Jedi, avant que l’inévitable déclin de son génie stylistique et littéraire ne pointe le bout de sa petite frimousse toute mignonne.

C’est donc le cœur léger et le sexe fièrement dressé que I BEG YOU ADIOU et te fais des GROBISOUS sur ton tout petit prépuce fripé de jeune éphèbe en mimolle. Enjoy comme il folle le dernier-Paso-cette-fois-c’est-pour-de-vrai, même si toi-même-tu-sais que cette mise en bière mettra probablement en joie mes quelques TRÈS RARES haters – qui, comme chacun sait, ne sont rien d’autres que des gens plus ou moins mentalement déficients.

En direct du site Égalité Réconciliation

Le dernier flim du jour les gros 🙁

Django déchaîné, un reportage fort bien documenté sur les solos de guitare manouche.

Sweet badass motherfuckaz

Donc.
L’histoire se passe à l’époque du
WICKI-WILD WILD DOO DOO DOO DOO DOOOOO WICKI-WICKI-WILD WICKI-WILD WICKI-WICKI WILD WILD WEST.

Un beau jour un vieux teuton chasseur de juifs primes – appelons-le PAPA SCHULTZ – décide, après avoir lu l’intégrale des œuvres de Jean-Claude Michéa, de voter Front National délivrer un fort beau numide nommé Banjo de sa rude condition de lümpenprolétaire sous-payé pas payé du tout et de l’aider à retrouver sa meuf, une jeune bonniche mi-bavaroise mi-basanée, esclave nubile d’un Leonardo DiCaprio édenté en plein bad trip de cocaïne.

Après avoir buté une bonne douzaine de sauvageons du pharouèste et rayé le kluklussklan de la surface de la planète à eux seuls two, Papa Schultz et Banjo décident de chevaucher trankilachôte à la plantation de keuton de Leo située dans un état proche de l’Ohio mais plutôt que d’essayer de lui acheter la meuf de Banjo ils lui proposent dabor de lui acheter un autre
motherfuckin’ nigga pour faire genre ouais mais en fait c’est pas la meuf qu’on veut alors qu’en fait si mais bon je sais pas c’est sans doute une super feinte du père Lafeinte que j’ai pas trotro compris mais bon on s’en fout parce que dès qu’ils arrivent ils tombent WEETABIX sur


Et là Oncle Benz on voit bien qu’il a pigé qu’y a embrouille sous France Roche et du coup il décide de pas les lâcher d’une semoule alors que vous je sais pas mais moi on m’avait pourtant dit que justement Oncle Benz beh il ne colle jamais #hoho #desbarres

Pendant c’temps là pour discuter le bout de gras, Leo, Banjo et Papa Schultz décident de prende l’apéro et manger des Chipsterz Melun autour d’une bonne fondue bourguignogne mais v’là-t’y pas qu’Oncle Benz y grille DIRECT HUIT que Banjo et Papa Schultz il connaissent la fraülein COOOOOOULEUR CAFÉÉÉÉÉÉ qu’ils veulent délivrer du coup il les brasillach direct à son boss Leo et là PIM’S ils se mettent tous à gueuler et à s’entretuer comme des drag queens en pleine descente de cocktail Absolut vodka et Banjo y finit par se retrouver tout nu dans la grange de la Fistinière, pendu les jambes en l’air, pendant qu’un jeune garçon vacher qui louche lui caresse gentiment les testicouilles #han #lachance

Tout ça aurait pu finir comme dans les meilleurs pornos gays par un joli creampie dans la rondelle de Snow White mais bon tu crois quoi que Banjo c’est un low-tier qui va accepter de se faire faire un handjob par un bouseux crasseux affublé d’un strabisme convergent fort prononcé ? Nan mais ho ça va pas bien chez toi les mecs. Du coup, Banjo s’évade dans le désert et en profite pour buter Guy Carlier le réalisateur du flim avant de retourner à la plantation pour se la jouer Luka Rocco Magnotta avec les fesses d’Oncle Benz et de niquetout la baraque de Leo comme un jeune foufou des banlieues qui ont un peu trop la bicrave dans leur tête. Pis y s’casse dans la pampa avec sa bestah.

DISCLAIMER :

Aucun vélo n’a été volé durant le tournage de ce flim.


Verdict :

Un chef-d’œuvre pasolinien, ainsi qu’une bouleversante mise en abyme sur la condition de l’être-tombé-en-esclavage-de-ce-sourire-de-ce-visage.

Be the first to comment

Leave a Reply