Il a appris la guitare et la pâtisserie avec son père

Et 1,6 million de personnes ont vu ses concerts. En se lançant dans la musique, « je ne cherchais pas la notoriété, mais la reconnaissance. Aujourd’hui, j’ai ce dont j’ai toujours rêvé », dit-il.

Ado, il jouait de l’harmonica jusqu’à 8hpar jour. «Mon père me disait : «Mais tu vas devenir fou avec ta musique» Moi je disais non, je veux être musicien. Mon père, très mélomane, jouait du saxophone, surtout du jazz. Et de la guitare. Il avait un répertoire très Brassens. J’étais en apprentissage en pâtisserie, je me levais à 3h30 du matin pour travailler avec mon père. C’est un très beau métier, mais c’est très dur quand on n’est pas passionné. C’est là et avec lui que j’ai appris à jouer de la guitare : il me montrait les accords. Parfois il me laissait commencer plus tard, comme ça, je ne devais pas faire de sieste l’après-midi et je pouvais bosser la guitare.»

À 18 ans, Christophe Maé est «monté à Paris» pour suivre sa passion. 10 ans de piano-bar, «je n’ai jamais pris ça comme une grosse galère», dit-il puis la comédie musicale Le Roi soleil qui l’a révélé.

Quant à la pâtisserie familiale, la maison Martichon à Carpentras, le frérot Frédéric reprendra le flambeau. Elle est très courue par les fans de Christophe Maé qui savent que le chanteur y a grandi.

A.Vt.

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